Le 8 mars était la journée internationale des droits de la femme. A l’occasion de cette date largement célébrée dans les médias, et profitant de la sortie toute récente de l’étude CIM Audio Time, le département MarCom de RMB a consacré une analyse à la consommation audio des femmes dans le sud du pays.

Le 24 février dernier, le CIM a publié les résultats de l’étude Audio Time. Complémentaire à l’enquête RAM, cette nouvelle étude livre un aperçu global du paysage audio en Belgique en mettant l’accent sur la répartition des durées d’écoute entre plateformes et devices.

L'étude distingue 4 types d'Audio :

• Le live radio (via FM, DAB+, TV…) offline et online
• La radio on demand : en différé et via podcasts
• Le streaming : services de streaming audio et musique via plateformes vidéo
• La musique téléchargée ou achetée (CD, DVD, MP3...)

Les auditrices se distinguent de leurs homologues masculins

• Dans le Sud, plus de 8 femmes sur 10 âgées de 12 à 74 ans consomment de l'Audio sur 1 jour moyen.

• Une écoute qui dure, en moyenne, 4h14 par jour. Ce chiffre est sensiblement moins élevé que chez les hommes qui affichent une consommation quotidienne de 4h50.

• C'est le Live Radio qui, avec 57% du volume audio, représente la part la plus importante de l’écoute. Viennent ensuite le Streaming qui représente 30% du volume d'écoute et la musique téléchargée ou achetée (10% du volume).

• A noter que les femmes sont davantage adeptes du streaming (30% du volume) que les hommes (28% du volume) et qu’elles consomment nettement plus de musique téléchargée (10% du volume chez les femmes >< 5% du volume chez les hommes).

Quels devices pour streamer ?

• En termes de devices, les femmes utilisent principalement leur smartphone pour streamer (48% du volume). L'ordinateur vient en 2^ème position et représente 26% du volume. Enfin, notons que 12% du volume de streaming chez les femmes est consommé depuis le TV set, c'est 2 fois plus que chez les hommes (6%).

• En termes de lieu de consommation, c'est principalement depuis la maison (69% du volume) que nos streameuses opèrent. Chez les hommes, cette part est sensiblement moins élevée (64%).