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01.04.2020

Parents RMBéens en télétravail

Combiner télétravail et garde des enfants : nos équipes se débrouillent plutôt bien !

Parents RMBéens en télétravail

Continuer à être efficace, à avancer, à fournir le meilleur service possible aux clients… Et, d’autre part, pour les plus jeunes d’entre nous, veiller en même temps sur les enfants… Voilà deux défis quotidiens que nos équipes relèvent avec le sourire, comme en attestent les témoignages d’Aurélie et de Stéphane.

La crise du Covid-19 aura au moins cela de bon : les valeurs de solidarité (entre citoyens, entre collègues, etc) et les valeurs familiales reprennent place au centre de nos préoccupations.

 

Et même s’il n’est pas toujours aisé de travailler aux côtés de ses enfants, bénis sont les employeurs qui, comme RMB, ont la possibilité d’organiser le télétravail de leurs collaborateurs. En cette période où chacun se sent potentiellement en danger, il est très rassurant de pouvoir veiller sur les petites têtes blondes.

 

La situation actuelle présente ses avantages et ses inconvénients. Mais, toujours, on finit par trouver une solution. Aurélie Vandeville, Campaign Expert chez T&R, maman de Nora (19 mois) et de Léna (4 ans), ainsi que Stéphane Wautelet, Pricing Expert chez T&R, papa d’Emma (5 ans) témoignent :

 

Quels sont les avantages d’être en confinement avec ses enfants ?

 

  • Partager davantage de moments avec les enfants. Autant pour Aurélie que pour Stéphane, c’est l’avantage n°1. Aurélie: « On prend le temps de leur préparer de bons petits plats et on peut leur faire des câlins quand on veut. On mange en famille tous les midis, ce sont toujours de chouettes moments passés ensemble ».

 

  • Il est également passionnant de voir ses enfants grandir et de les y aider… Stéphane: « On peut faire l’école avec eux, vu qu’ils n’y vont plus. Avec quelques livres d’activités, on peut les aider à apprendre, les corriger et les voir progresser ». Aurélie : « Pour Nora (19 mois), on profite du temps passé auprès d’elle pour parfaire son vocabulaire et lui apprendre de nouveaux mots ».

 

  • S’aérer ensemble dans le jardin est une autre activité très appréciée. Aurélie: « Mes filles profitent du jardin ! En temps normal, après l’école/la crèche, il est déjà tard, on n’a que le temps du repas et du bain avant de les mettre au lit ». Stéphane : « On tente de faire des jeux rapides. Qui dit pause cigarette, par exemple, dit machine à bulles, frisbee, etc. Heureusement, ces derniers jours, le soleil nous a bien aidé ».

Quels sont les inconvénients d’être en confinement avec ses enfants ?

 

  • La 1ère difficulté consiste à jongler entre le travail et les enfants. Aurélie: « Il y a beaucoup de bruit, pas toujours évident de se concentrer quand on en a besoin ».

 

  • Les enfants ont perdu leurs repères ; il est compliqué de leur donner un nouveau cadre dans lequel ils peuvent se retrouver. Stéphane: « Difficile de jongler avec le boulot du couple qui doit se poursuivre et l’enfant qui ne comprend pas très bien ce qui lui arrive et pourquoi il ne va plus à l’école ». Aurélie : « Les filles tournent en rond, elles sont un peu livrées à elles-mêmes. Le temps passé à la maison commence à devenir long. Même si on essaie de les occuper comme on peut, il est temps qu’elles reprennent un rythme. Léna (4 ans) nous demande chaque jour si elle peut aller à l’école ».

 

  • Les journées sont très longues, les pauses sont rares. Aurélie: « Ce sont des journées super longues, nous sommes très fatigués. On se lève en même temps que nos enfants, on les voit tout le temps, même nos pauses leur sont consacrées. Après la mise au lit, on s’effondre. Et le lendemain est déjà là… ». Stéphane : « On commence à peine une activité qu’il faut enchaîner avec une autre. Les enfants sont moins fatigués qu’après une journée d’école, donc ils débordent d’énergie le soir et sont excités comme des puces ». 

 

  • Et les idées viennent parfois à manquer. Aurélie: « Que ce soit à l’école ou à la crèche, les filles sont encadrées par des professionnels et des pédagogues. A leurs côtés toute la journée, nous n’avons toutefois pas le temps de faire ce que propose une institutrice ou une puéricultrice ». Stéphane : « Evidemment, quand on est un peu à court d’idée pour les occuper, difficile de ne pas craquer avec les écrans (TV ou téléphone) avec lesquels on est moins regardant que d’habitude ».

Quels sont vos solutions au quotidien pour trouver le juste équilibre ?

 

  • La 1ère solution consiste à s’organiser avec son conjoint ou à planifier autrement ses plages de travail. Aurélie: « Mon mari a la chance de pouvoir travailler en horaire décalé et de prester ses heures comme il lui convient. Donc, dès que je suis en pause (le midi, par exemple), il travaille. Il est aussi occupé avant moi le matin et après moi le soir. Le reste de la journée, si les filles sont calmes, il travaille aussi ». Stéphane : « J’essaie parfois de prendre moins de pause le midi tandis que ma fille fait la sieste. Cela me permet de terminer la journée légèrement plus tôt pour pouvoir faire des activités avec elle et soulager un peu sa maman qui lui a consacré pas mal de temps durant la journée ».

 

  • Avoir de l’espace, ça aide ! Aurélie: « Je travaille habituellement dans le salon mais, de temps en temps, je monte à l’étage pour changer un peu d’ambiance et avoir moins de bruit ».

 

  • L’idéal, pour les enfants, est de varier les activités et d’être un peu plus souple que d’habitude. Aurélie: « On essaie que les journées des filles ne se ressemblent pas, c’est dur pour elles aussi… Mais dès que la plus petite est à la sieste, on met la grande devant un Disney. Cela nous laisse 1h30 de calme absolu, ça fait du bien à tout le monde ». Stéphane : « J’essaie de faire plaisir à ma fille en vaquant avec elle à ses deux activités préférées du moment : fouiller dans le grenier et passer du temps dehors pour tondre la pelouse, jouer au ballon, à la raquette, etc. Et forcément, on est un peu plus souple sur les horaires du coucher, étant donné qu’il n’y a pas école le lendemain ».