Dès 2023, RMB proposera des écrans publicitaires identifiés durables sur les antennes de la RTBF et de NRJ. Pour objectiver sa démarche, notre régie a choisi de recourir aux méthodes d’évaluation OEF et PEF recommandées par la Commission Européenne et de collaborer avec la société française Glimpact qui est reconnue comme l’une des seules à réaliser les diagnostics d’empreinte environnementale des produits et des organisations conformément à ces recommandations européennes.

Dans le cadre de son nouveau positionnement en tant qu’acteur responsable au niveau de l’éthique publicitaire, RMB proposera dès 2023 des écrans publicitaires sur les antennes de la RTBF et de NRJ identifiés comme des écrans « durables ». L’objectif consiste à donner une meilleure visibilité, auprès des consommateurs, aux produits et aux services les plus respectueux de l’environnement.

Pour mettre en œuvre cette nouvelle offre, RMB souhaite intégrer dans ses outils de planification un score précis et fiable d’impact environnemental pour les organisations, produits et services afin d’évaluer objectivement l’éligibilité des annonceurs à ces nouveaux écrans publicitaires. C’est dans ce contexte que RMB et ses partenaires média ont décidé de suivre la recommandation officielle du 16 décembre 2021 de la Commission Européenne en matière de mesure de l’empreinte environnementale des produits et des organisations portant sur les méthodes PEF (Product Environmental Footprint) et OEF (Organisation Environmental Footprint).

La société française Glimpact, du fait de sa maîtrise des méthodes PEF/OEF adoptées par la Commission Européenne, a été sélectionnée par RMB comme caution scientifique et technique pour mettre en place le dispositif d’éligibilité des annonceurs à ces nouveaux écrans publicitaires durables.

Valérie Janssens, Director of Development de RMB : « En tant que régie publicitaire, nous pouvons agir dans la chaîne de valeurs pour encourager et donner plus de visibilité aux annonces les plus éco-responsables. Mais ce n’est pas notre rôle de déterminer qui ou quoi est durable. Pour progresser, nous devons donc pouvoir nous référer à des méthodes scientifiques éprouvées qui considèrent l’impact sur l’ensemble de l’écosystème. Celles préconisées par la Commission Européenne ont le mérite de promouvoir un standard qui peut devenir une référence pour tous. Glimpact nous apporte le crédit scientifique et technique pour les activer dans le cadre de nos pratiques commerciales ».

Tous les détails dans le communiqué de presse