RMB évalue son empreinte OEF

RMB renforce sa stratégie durable en mesurant son empreinte selon la méthode européenne OEF avec Glimpact. Une démarche qui offre une vision complète de ses impacts et ouvre la voie à des actions environnementales plus cohérentes et efficaces. 

glimpact

Transition environnementale : comment agir efficacement ?

Dans un contexte où la transition environnementale devient centrale pour les entreprises, RMB adopte la méthode OEF, reconnue par l’UE comme cadre de référence, afin d’obtenir une vision globale et scientifiquement robuste de ses impacts. Là où l’empreinte carbone ne couvre qu’un aspect du problème, l’OEF prend en compte les 16 catégories d’impact environnemental de l’activité humaine, offrant ainsi un diagnostic plus précis et plus représentatif des enjeux de la transition écologique. 

Dans sa démarche, RMB est accompagnée par Glimpact. Avec son outil d’évaluation environnementale rigoureux et intuitif, Glimpact guide les organisations dans la collecte, l’analyse et la modélisation de leurs données environnementales. La plateforme permet de mieux comprendre la réalité des impacts d’une entreprise, d’identifier les actions prioritaires pour réduire efficacement l’empreinte écologique et d’optimiser la performance environnementale. 

Avec cette analyse approfondie, RMB réaffirme sa volonté d’adopter une démarche transparente et exhaustive, permettant d’identifier les leviers de réduction les plus pertinents, tant au niveau opérationnel que dans les dispositifs publicitaires proposés à ses clients. 

RMB est la première régie publicitaire à avoir évalué  précisément et rigoureusement son empreinte environnementale selon la méthode OEF, adoptée par l'UE comme cadre méthodologique de référence. Cette méthode systémique apporte une nouvelle vision des vrais enjeux de la nécessaire transition écologique du secteur de la publicité. Par son initiative pionnière et structurante, RMB affirme la performance environnementale des campagnes média au cœur de sa stratégie de développement et ouvre une nouvelle voie de nature à inspirer tout l'écosystème des acteurs, les agences, les régies, comme les annonceurs 
Christophe Girardier, Président Glimpact

Les campagnes média : principale source d’impact environnemental

Les campagnes média représentent aujourd’hui la principale source d’impact environnemental pour RMB, surtout en raison des équipements utilisés par les consommateurs pour voir ou entendre les messages publicitaires. En tant que régie, RMB peut agir sur certains leviers importants pour diminuer l’impact de ses campagnes (notamment sur la durée et le poids du message) mais dispose néanmoins de peu de leviers directs pour agir sur l’achat ou l’utilisation de ces appareils. 

Certaines initiatives concrètes montrent cependant l’engagement de la régie, comme l’investissement dans l’application Balnz, qui encourage la maîtrise du temps d’écran et favorise un usage plus responsable du smartphone. 

Quels leviers les annonceurs peuvent-ils activer pour réduire l’impact environnemental de leurs campagnes ? Comment calculer de manière fiable et partagée l’empreinte écologique des dispositifs média ? Et comment s’assurer que ces actions soient reconnues et mesurables par l’ensemble du secteur ? Réduire l’impact lié à la diffusion des campagnes devient essentiel, et les réponses à ces questions permettent aux annonceurs de concevoir des stratégies publicitaires plus durables et responsables. 

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Grâce à notre collaboration avec Glimpact, nous avons développé une conscience plus grande de l'étendue des enjeux environnementaux dans le secteur publicitaire. Ceci nous permet de focaliser nos efforts sur les leviers les plus utiles à tous les niveaux de la chaîne de valeur. Se soumettre aux exigences de l'OEF est aussi pour RMB une manière de promouvoir une méthode de mesure rigoureuse et systémique, celle de l'Union Européenne, qui doit nous guider vers une responsabilité plus grande sur toutes les dimensions de l'impact environnemental 
Valérie Janssens – Media, Data, Tech Director 
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Vers une méthodologie commune pour le secteur publicitaire ?

Si plusieurs solutions émergent pour mesurer l’empreinte des campagnes, aucune approche n’a encore été adoptée à l’échelle du secteur. Les discussions autour d’Ad Net Zero au niveau international ou de CommToZero en Belgique montrent l’importance d’une harmonisation méthodologique

Aux côtés de Glimpact, RMB souhaite contribuer activement à faire avancer une mesure commune, plus complète et intégrant d’autres critères que le seul CO₂. La méthode OEF permet de mesurer précisément l’ensemble des impacts, de définir les priorités de réduction et de structurer une stratégie durable cohérente, au service d’une communication transparente et responsable. 

Une réflexion plus large : l’éco-conception

L’analyse de l’empreinte OEF de RMB met en lumière les principaux impacts environnementaux et invite à explorer l’éco-conception comme levier pour les réduire. Plusieurs pistes peuvent être envisagées : 

  • optimiser la production des contenus
  • éco-concevoir les fichiers(notamment en réduisant leur durée et leur poids en mémoire)
  • optimiserla stratégie de diffusion
  • sélectionnerdes prestataires engagéset/ou locaux
  • mutualisercertaines créations
  • mesurer puis compenser les impacts résiduels

Ces pistes constituent des opportunités concrètes pour établir des actions prioritaires et orienter les démarches responsables des annonceurs et autres acteurs du secteur autour d’une stratégie plus durable, cohérente et harmonisée à l’échelle européenne. 

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